La 31ème édition de la Journée mondiale de la liberté de la presse a été ouverte du 2 au 4 par le Chili et l’UNESCO. Cette année, l’événement prend une signification particulière sur la crise environnementale sans précédent que le monde connait.
Plaçant son mot de bienvenue, le Secrétaire général de l’Union des journalistes Tchadiens, Serge Manassé Gotingar n’a pas manqué de souligner l’importance de cette célébration qui sert à rappeler au gouvernement, la nécessité d’honorer son engagement en faveur de la liberté de la presse et à inviter ses consœurs et confrères journalistes à réfléchir sur la liberté de la presse et l’éthique professionnelle. « Nous devons profiter de cette occasion pour réfléchir sur les questions relatives à la liberté de la presse et à l’éthique professionnelle », a-t-il déclaré.
La crise climatique, qui s’aggrave constamment, perturbe les écosystèmes et affecte la vie de milliards de personnes à travers le monde. Ces bouleversements doivent être portés à la connaissance du public. Dans le contexte actuel de crise environnementale, les journalistes se retrouvent en première ligne de la lutte contre les effets du changement climatique. C’est grâce au travail des journalistes, à leur courage et à leur persévérance, que ces récits peuvent être diffusés, permettant ainsi une prise de conscience et une action collective.
A cette occasion, l’Union des journalistes Tchadiens rend hommage aux journalistes décédés dans l’exercice de leur profession et demande que justice soit rendue pour les auteurs de crimes contre les journalistes.
Bang-Abalao Bang-né